J'ai déjà été fan de tas de personnes avant Marina. J'ai été folle de Superbus, hystérique devant Paul McCartney, je me suis déplacée pour le concert de Katy Perry, de Renan Luce... Pourtant jamais aucun de ces artistes ne m'a autant touché que Marina Diamandis.
Je suppose que c'est quelque chose qui ne s'explique pas. J'ai eu la curiosité de taper son nom dans Google après avoir lu un article très sommaire sur elle dans un Glamour. Et là... Je suis tout simplement tombé amoureuse. De sa chanson I am not a Robot. Les paroles, l'air, le clip... Son physique aussi, si peu banal, mais tellement banal en même temps. Enfin une chanteuse qui ressemble à une vraie personne. Non à un robotsoumis à des régles de perfection toutes plus stupides les unes que les autres.
Et puis voilà le clip officiel...
Je me suis toujours vue comme quelqu'un de réservé. De modéré. A des milliers de lieu des groupies des Beatles, qui s'évanouissaient dans les concerts pour cause d'orgasme impromptu. Pourtant, lorsque sur son Facebook Marina a lancé le compte à rebours avant le lançement de ce clip (qui n'est même pas ma chanson préférée de l'album!), je me suis retrouvée fébrile, à rafraîchir la page toutes les cinq minutes et à gémir d'impatience de concert avec les fans les plus zélés... J'assume, j'assume...